En ce jour, encore un copain qui m'écrit : c'est Fred, il pressant un départ imminent : c'est l'heure pour toute une génération de septuas et d'octos .
" ... tu vois, la vie c'est un peu comme un labyrinthe, on y entre brutalement en quittant tout aussi bruyamment un autre "site".
Commence alors un parcours délicat, fait d'embuches pour certains, de plaisirs pour d'autres.
Les indices du chemin à suivre sont difficiles à décrypter.
Sans le vouloir, d'aucuns optent pour des sentes qui s'avèrent glorieuses, joyeuses.
D'autres se heurtent à des impasses semées de désagréments, de drames, de blessures.
Ceci est valable tant pour les individus que pour les peuples.
Mais quelque soit la voie suivie, une issue commune se profile ... alors l'égalité se rétablit et la sortie maintenant visible ne permet aucun espoir ... le Noir est là et nul ne peut s'y soustraire.
Tous les passagers du labyrinthe se regardent, les nantis du parcours, les autres aussi et le regard perdu est le même.
Je vois ce terme qui m'aspire inéluctablement ... rien ne peut ralentir ni freiner ma progression.
Je dois vous dire adieu ici, avec amertume, car je n'ai pas découvert les indices "premium" du parcours ... ceux
qui , peut être, permettent de s'éteindre avec plus de quiétude !!! "
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